Devient aussi membre de la SA. Milite dans le mouvement national-socialiste en même temps que son frère aine, Wolf Sluyterman v. Langeweyde, qui est alors au chòmage. Fait des affiches, des vignettes, des caricatures. Dessine le titre dujournal hebdomadaire du Gau de Dusseldorf de la NSDAP, Die Neue Front, et y collabore regulièrement, se fait surtout connaitre par ses gravures sur bois et sur lino, qui evoquent la vie des paysans de Basse-Saxe et les paysages de la lande de Lunebourg. Travaillant dans le style des anciens maitres, exalte le monde du travail et illustre de nombreux sujets historiques. Incorpore dans ses gravures des citations, des proverbes et des paroles de Volkslieder. En 1935, le Folkwang-Museum d'Essen lui achète plu- sieurs de ses auvres. Fait à partir de cette date trois grandes séries de gravures (Des Deutschen Volkes Lied 1935, Es mahnen die Väter 1936, Deutsches Lied 1938) qui lui valent une grande popularité et sont fréquemment reproduites dans la presse (Der Schulungsbrief, Junges Volk, etc.). Fait aussi quelques gravures politiques, ainsi qu'un portrait de Hitler, et collabore aux recueils de la série Ewiges Deutschland. Réalise plusieurs peintures murales pour des foyers de la Jeunesse hitlérienne et de la SA. Expose une litho à la GDK de 1939. S'installe en 1940 à Bendestorf, près de Hambourg. L'année suivante, se porte volontaire pour le front de l'Est. Une partie de ses auvres est détruite à la fin de la guerre. Est fait prisonnier par les Anglais, puis interne pendant plus d'un an. Après la guerre, tente dans des conditions difficiles de poursuivre sa carrière. Pour gagner sa vie, fait surtout des dessins publicitaires et commerciaux. Se remarie en 1946. Se tourne vers la peinture dans les années cinquante. Fait aussi des poèmes, des ballades et des chansons dans l'esprit des Lieder de Hermann Löns, qu'il chante lui-même en s 'accompagnant à la guitare (publie un disque en 1970). Reçoit en 1970 l' Anneau d'honneur en or du peutsches Kulturwerk Europäischen Geistes. Ses gravures sont reeditees et largement diffusees à partir de 1975 par les editions Uwe Berg. Meurt le 5 janvier 1978 dans sa maison de Bendestorf ( « Haus Malershöh » ) .Il est inhume au Heidefriedhof de Bendestorf. Le Landkreis de Harburg lui decerne son Prix de la culture à titre posthume. Est également fait citoyen d'honneur de Bendestorf. Sa femme Eva-Maria meurt peu après lui.

Ne le 13 avril 1903 à Essen, neuvième fils de l'officier d'artillerie et ingénieur en construction Bernhard Sluyterman v. Langeweyde. La famille de sa mère est originaire de Basse-Saxe, celle de son père vient des Pays-Bas. L'orthographe originale de son nom est Sluyterman Van Langeweyde (la particule « Van », germanisée en « von », sera le plus souvent transcrite par lui en abrege : « v » ). Après la mort prématurée de son père (1908), passe une jeunesse très pauvre dans un quartier d'ouvriers d'Essen. Participe aux activités du Wandervogel et apprend à jouer de la guitare, Travaille quelque temps chez un meunier de Poméranie et dans un atelier de publicité. Entre en 1920 à l'Ecole des Arts décoratifs d'Essen, où il suit les cours de Wilhelm Poetter (graphisme et peinture décorative) et Hermann Kätelhön (gravuresur bois). Achève ses études à l'Académie de Düsseldorf, où il est l'élève de Fritz Mackensen et de Spatz, puis le Meisterschüler de Julius Paul Junghanns. S'installe comme graphiste à Düsseldorf. Se marie en 1926. Adhère à la NSDAP le 1er mai 1928, ce qui lui vaut de perdre aussitôt plusieurs commandes.

Devient aussi membre de la SA. Milite dans le mouvement national-socialiste en même temps que son frère aine, Wolf Sluyterman v. Langeweyde, qui est alors au chòmage. Fait des affiches, des vignettes, des caricatures. Dessine le titre dujournal hebdomadaire du Gau de Dusseldorf de la NSDAP, Die Neue Front, et y collabore regulièrement, se fait surtout connaitre par ses gravures sur bois et sur lino, qui evoquent la vie des paysans de Basse-Saxe et les paysages de la lande de Lunebourg. Travaillant dans le style des anciens maitres, exalte le monde du travail et illustre de nombreux sujets historiques. Incorpore dans ses gravures des citations, des proverbes et des paroles de Volkslieder. En 1935, le Folkwang-Museum d'Essen lui achète plu- sieurs de ses auvres. Fait à partir de cette date trois grandes séries de gravures (Des Deutschen Volkes Lied 1935, Es mahnen die Väter 1936, Deutsches Lied 1938) qui lui valent une grande popularité et sont fréquemment reproduites dans la presse (Der Schulungsbrief, Junges Volk, etc.). Fait aussi quelques gravures politiques, ainsi qu'un portrait de Hitler, et collabore aux recueils de la série Ewiges Deutschland. Réalise plusieurs peintures murales pour des foyers de la Jeunesse hitlérienne et de la SA. Expose une litho à la GDK de 1939. S'installe en 1940 à Bendestorf, près de Hambourg. L'année suivante, se porte volontaire pour le front de l'Est. Une partie de ses auvres est détruite à la fin de la guerre. Est fait prisonnier par les Anglais, puis interne pendant plus d'un an. Après la guerre, tente dans des conditions difficiles de poursuivre sa carrière. Pour gagner sa vie, fait surtout des dessins publicitaires et commerciaux. Se remarie en 1946. Se tourne vers la peinture dans les années cinquante. Fait aussi des poèmes, des ballades et des chansons dans l'esprit des Lieder de Hermann Löns, qu'il chante lui-même en s 'accompagnant à la guitare (publie un disque en 1970). Reçoit en 1970 l' Anneau d'honneur en or du peutsches Kulturwerk Europäischen Geistes. Ses gravures sont reeditees et largement diffusees à partir de 1975 par les editions Uwe Berg. Meurt le 5 janvier 1978 dans sa maison de Bendestorf ( « Haus Malershöh » ) .Il est inhume au Heidefriedhof de Bendestorf. Le Landkreis de Harburg lui decerne son Prix de la culture à titre posthume. Est également fait citoyen d'honneur de Bendestorf. Sa femme Eva-Maria meurt peu après lui.